Appel aux Reuillois(es) : participez à la Sainte Barbe de vos sapeurs-pompiers !

Les sapeurs-pompiers et la mairie de Reuilly invitent la population locale à participer à leur sainte Barbe

Dans la continuité des actions réalisées pour le développement du volontariat sur la commune de Reuilly, les sapeurs-pompiers convient la population à leur cérémonie officielle de la Sainte Barbe. Elle se déroulera le samedi 24 novembre à 10h30 (au centre de secours), en présence des autorités locales (Mme le Maire, vice-présidente du conseil départemental) et du Colonel Thierry LAHOUSSOY, Directeur du SDIS.

A cette occasion, le nouveau drapeau du centre de secours sera remis officiellement.

On vous attend nombreuses et nombreux !

lien facebook de l’évènement

Une belle inauguration pour l’état-major

Le nouvel état-major du SDIS de l’Indre

Lundi 22 octobre à 14h30 a eu lieu l’inauguration de l’état-major des sapeurs-pompiers de l’Indre. Baptisé pour l’occasion : « Louis PINTON » en hommage à l’ancien sénateur et président du Conseil d’administration. Ce bâtiment, placé au bord de la RN151 à Montierchaume date de 1973, autrefois il servait pour la vente de produits agricoles. Les sapeurs-pompiers y sont installés depuis 1991. Les travaux de rénovation ont débuté en 2016 pour une durée de 18 mois permettant aux 56 sapeurs-pompiers et personnels administratifs et techniques qui y travaillent de disposer d’un outil plus adapté. Cette rénovation et restructuration ont été réalisées par « Architech-PUR ». La surface administrative a augmenté de 470m² pour atteindre une surface plus confortable de 2 070m². Dorénavant, l’état-major est un lieu convivial, spacieux, en un mot : moderne.

De nombreuses semaines de préparation afin que l’inauguration soit au point le jour-j. C’est pari réussi ! Tous ont été aux RDV afin de célébrer cette belle journée d’inauguration de l’état-major du SDIS de l’Indre, en présence des élus locaux. Les JSP ainsi que de nombreux SPP et SPV représentant les 3 compagnies territoriales ont assisté à la journée.

Le premier temps fort fût la cérémonie avec l’accueil de Monsieur le préfet Seymour MORSY, du Président du Conseil d’Administration Serge DESCOUT, de tous les parlementaires de l’Indre et de Monsieur le maire de Montierchaume. Lors de cette cérémonie, deux médailles de la sécurité intérieure ont été décernées au capitaine Denis GUETRE commandant du CSP de La Châtre ainsi qu’au Commandant Jean-Noel GUILLOT président de la section des anciens sapeurs-pompiers. Cet instant solennel s’est ponctué par le dévoilement de la plaque en hommage à Louis PINTON ainsi que la coupure du ruban par les autorités. Dans la continuité, les élus locaux présents à cette inauguration ainsi que les différents invités ont pu découvrir les locaux, les services et les engins lors de visites guidées. Cette journée s’est soldée par un vin d’honneur accompagné par l’harmonie musicale de La Châtre.

 

Les uniformes de pompiers vont désormais être recyclés en isolants

Les pompiers de l’Indre viennent de trouver un moyen pour ne plus jeter leurs uniformes. Jusqu’à présent, ils sont enterrés dans un centre d’enfouissement. Ils vont désormais être transformés en isolants.

Rien se perd, rien se crée, tout se transforme, c’est le principe du recyclage. Les pompiers de l’Indre s’y mettent puisqu’ils ne vont plus jeter leurs tenues. Ils vont désormais les recycler en isolants.

Les uniformes ne brûlent pas parce qu’ils sont faits dans une matière bien particulière : l’aramide viscose. Quand cette matière chauffe, au lieu de dégager son énergie, elle s’effondre en minéral.

Ces propriétés expliquent que cette fibre est assez chère, entre 30 et 120 euros le kilo. Cela n’empêche pas qu’elle finisse enterrée dans un centre d’enfouissement.

Cette pratique ne convient pas au commandant Malassigné, du SDIS de l’Indre, qui réfléchit plutôt au recyclage. « Je me suis dit qu’on allait refaire des fibres et refaire des tenues. Là, ça aurait été une économie circulaire parfaite mais ce n’est pas si simple que cela. Une fois qu’une fibre a été déchiquetée, on ne peut pas la remettre en entier« , explique le commandant.

Il faut 20 tenues pour obtenir 10 m² d’isolants

Il trouve donc une autre idée grâce à une entreprise basée à Lille. Celle-ci est chargée de déchiqueter les tenues, de récupérer les fibres, de les compacter et d’en faire des isolants. Pour fabriquer 10m² d’isolants, il faut 20 tenues.

Les casernes jouent le rôle de cobaye. « On a posé des plaques dans une salle de formation à Déols. Les remises étaient chaudes et pourtant, à l’intérieur, quand on ouvrait la porte, on avait l’impression d’être dans une cave, ça restait frais« , souligne le commandant Malassigné. L’isolant est aussi utilisé pour la caserne d’Eguzon, actuellement en plein travaux de construction.

Les pompiers de l’Indre vont tenter de décrocher le trophée de l’innovation avec cet isolant le 21 novembre prochain.

 

France Bleu

 

 

Partenariat avec le CFA : la sécurité routière sous toutes ses formes

En partenariat avec le CFA (Centre de Formation des Apprentis) de Châteauroux, le SDIS 36 vient de se doter d’un nouveau véhicule pédagogique. Celui-ci servira pour la formation d’équipier VSAV et notamment pour la partie « cueillette » ainsi que pour les formations de Secours Routiers.

Ce véhicule, livré prochainement, sera attribué et remisé au centre de secours de Déols. Il complète la production d’autres véhicules pédagogiques, réalisés en interne par des sapeurs-pompiers dotés de compétences en mécanique automobile.

Cette initiative s’inscrit dans une démarche d’échange entre le SDIS et le CFA ; En effet, chaque année, les sapeurs-pompiers de Châteauroux sensibilisent les jeunes apprentis en organisant une manœuvre sur la thématique du secours routier.

Un bel exemple de partenariat au profit de la sécurité et de la pédagogie.

Logiciel d’aide à la géolocalisation « GEOLOC18_112 »

La technologie permet aujourd’hui de localiser de plus en plus précisément les personnes qui appellent les secours grâce à leur Smartphone.

Afin de faciliter la prise d’appel des requérants qui ont du mal à se localiser (à la montagne, en forêt, en zone rurale, …), le Centre de Traitement de l’Alerte (CTA) du SDIS de l’Indre disposera très prochainement d’une application « GEOLOC18_112 ».

Cette application repose sur le principe suivant : le numéro de téléphone de la personne qui appelle est enregistré dans le logiciel. L’opérateur du CTA envoie un lien, via un SMS, à l’appelant que celui-ci active en cliquant sur le lien. Cette action  donne la position géographique du téléphone du requérant à quelques centaines de mètres près et permet d’engager les secours les plus proches dans les meilleurs délais.

A terme, cette application pourra permettre un échange de photos entres les sapeurs-pompiers et l’appelant (exemple montrer les gestes de 1ers secours à entreprendre, ou transmettre une photo de la victime, …).

Sapeur-pompier le temps d’une journée…

Léonie est arrivée au SDIS de l’Indre le 15 septembre 2018 pour y effectuer un contrat d’apprentissage d’un an dans le cadre d’une licence professionnelle en communication et management d’événements à l’IUT d’Angoulême. Une immersion au sein des CSP Issoudun et Châteauroux lui ont permis de découvrir le quotidien des sapeurs-pompiers en garde « postée » (régime de travail des sapeurs-pompiers professionnels aux centres de secours de Châteauroux, Issoudun et Le Blanc), voici son reportage :

Se sentir dans la peau d’un sapeur-pompier le temps d’une journée, c’est un challenge que j’ai accepté avec plaisir et quel beau challenge ! Le but étant de me familiariser avec le monde des sapeurs-pompiers, connaître leur quotidien. Récit d‘une journée en caserne :

Rassemblement :

 

La journée commence dès 8h00 : rassemblement des équipes, le chef de garde fait le briefing de la journée : qui fait quoi (contrôle des engins, du matériel…) et donne également des informations nécessaires au bon déroulement de la journée. Un autre briefing aura lieu dès 14h00 pour faire le point concernant la matinée et les événements à venir.

 

 

Vérification du matériel : 

 

Le rassemblement terminé, chaque sapeur-pompier doit vérifier le matériel, les engins… Lors de ma journée d’immersion, j’ai pu assister à une manœuvre concernant le véhicule « grande échelle ». Le sapeur-pompier se charge de mettre en route le véhicule et de déployer l’échelle pour contrôler le fonctionnement . Le sapeur-pompier positionne l’échelle de face, puis à droite et à gauche, tout cela depuis le poste de pilotage.

 

Une fois la vérification du matériel et des engins terminée, les sapeurs-pompiers se préparent pour la séance de sport. Avoir une bonne condition physique reste un élément important pour tout sapeur-pompier. Nous avons commencé une partie de volley, qui n’a d’ailleurs pas duré très longtemps puisque le « bip » a sonné… à partir de ce moment-là, tout s’accélère, on court, on va vite se changer pour quitter les affaires de sport et enfiler la tenue adaptée pour partir en intervention. Il n’y a pas une minute à perdre. On monte dans le véhicule de secours et d’assistance aux victimes (VSAV). Me voilà partie en intervention avec les sapeurs-pompiers pour venir en aide à une dame âgée qui était tombée et qui n’arrivait pas à se relever. Quelles que soient les interventions, je reste toujours impressionnée par le professionnalisme des sapeurs-pompiers : savoir gérer une situation d’urgence et son contexte humain et technique.

Manœuvre : 

 

La manœuvre… tout comme le reste, il s’agit d’une étape importante pour le sapeur-pompier. On ne peut pas partir en intervention sans maitriser parfaitement les engins, sans savoir comment cela fonctionne, sans savoir à quoi sert tel ou tel outil. Lors de mon immersion au CSP d’Issoudun j’ai eu l’occasion d’assister à un exercice avec le véhicule « grande échelle ». Les sapeurs-pompiers se mettent en condition, enfilent la tenue idéale pour affronter le feu, ils sont 3, un sapeur-pompier guide l’échelle, puis 2 deux autres montent… à 30m de haut.

 

 

Une fois l’échelle déployée, les sapeurs-pompiers peuvent communiquer entre eux (le sapeur-pompier qui guide l’échelle ainsi que les deux sapeurs-pompiers en haut de l’échelle). Ceci leur permet d’évoquer certaines difficultés qu’ils peuvent rencontrer. Une fois la manœuvre terminée, je suis montée à 30m de haut… impressionnant.

 

 

Travail dans les services

L’après-midi est dédié au travail au sein des différents services de la caserne : de la mécanique au service général, de la prévision à la formation ou encore l’entretien du casernement, la gestion des Appareils Respiratoires Isolants ou des tuyaux, chaque sapeur-pompier réalise des missions techniques ou administratives dédiées au bon fonctionnement du centre. Ces missions sont parfois entrecoupées d’interventions. On arrête tout ce qui est en cours pour partir au secours de la population.

Je ne retiens que du positif de cette journée d’immersion au CSP d’Issoudun et de Châteauroux. Cela m’a permis de me mettre dans la peau d’un sapeur-pompier, de me rendre compte des difficultés auxquelles ils sont confrontés tous les jours, et à quel point ils s’investissent  pour venir en aide aux victimes.

C’est un très beau métier exercé par des passionnés, professionnels ou volontaires. Le SDIS recrute en permanence des sapeurs-pompiers volontaires : N’attendez plus, rejoignez-les ! 

 

Devenir Sapeur Pompier Volontaire

 

Un sapeur-pompier de Déols en Tunisie

Dans le cadre de la coopération technique développée avec la Tunisie, la Direction Générale de la Sécurité Civile et de la Gestion des Crises, a confié à l’Ecole de Valabre la mise en œuvre de formations dans le domaine du secourisme, en Tunisie.

A ce titre, le SDIS 36 a envoyé l’un de ces moniteurs, le sergent Thibaud POTHEVIN du CS DEOLS. Celui-ci participe du 29/09 au 14/10/2018, en sa qualité de formateur, a une formation d’équipier Secours à Personnes (SAP) à Gafsa.

Le lieutenant Matthieu LE BARON lui succèdera en novembre pour l’encadrement d’une nouvelle formation SAP plus particulièrement pour les chef d’agrès.

Les sapeurs-pompiers de l’Indre participent ainsi à la mutualisation des compétences pour la formation des intervenants Tunisiens au profit de la population.

Bravo à nos deux représentants !

Attaque en ville : les forces de l’ordre s’entraînent

Châteauroux. La police nationale a mené, hier matin, à la CPAM, un exercice qui visait à coordonner forces de l’ordre et secours en cas de périple meurtrier.

L’homme a tiré trois balles, sur le parking. Puis autant, à l’intérieur de la Caisse primaire d’assurance-maladie (CPAM). Il est 10 h 15. « Le temps paraît long, pour tout le monde. Mais dans les équipes, c’est l’effervescence », commente le commissaire Michel Cassagne, directeur départemental de la Sécurité publique.
« Couchez-vous ! » Les deux formateurs, qui ont conçu l’exercice ne sont jamais loin des policiers qui interviennent. Premiers sur les lieux, les membres de la patrouille police secours, le « niveau 1’ » d’intervention, selon le protocole. La patrouille interpelle les blessés, tâche d’avoir plus d’informations. « Demandons l’intervention urgente des pompiers ! » Les policiers appellent des secours, alors qu’arrive une première équipe du Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (Psig).

Soigner en toute sécurité

La coordination doit aussi se faire avec les sapeurs-pompiers, pour assurer leur sécurité. C’est lourdement équipés, protégés par des gendarmes et des policiers, qu’ils prodiguent les premiers soins. « Notre intérêt, dans l’exercice, est savoir créer un point de rencontre avec les forces de l’ordre et assurer les premiers secours », détaille la commandante Kowalski, chef du centre de secours de Châteauroux, observatrice de l’exercice. Les locaux voisins du cabinet CER France, à l’abri de tirs potentiels, ont été réquisitionnés pour soigner les blessés.
Le système Sinus est mis en place. L’opération est dirigée par le capitaine Boittin, du centre de secours de Châteauroux. Chaque personne, blessée ou non, se voit remettre un bracelet qui correspond à un dossier informatisé.
En parallèle, les indemnes sont évacués par d’autres issues et interrogés par la police judiciaire. « Le but est de nous coordonner avec les sapeurs-pompiers, les gendarmes, les civils, pour savoir comment travailler ensemble sur une situation inhabituelle », résumait le commissaire Cassagne. Dans le même temps, les forces de l’ordre ont progressé dans le bâtiment. D’autres hommes du Peloton spécial d’intervention de la gendarmerie (Psig) sont arrivés, ainsi que la brigade anti-criminalité du commissariat. L’agresseur, un usager en colère, selon le scénario, a été tué. Les trois otages qu’il détenait ont été libérés.

 

Aziliz LE BERRE, journaliste la NR, rédaction de Châteauroux

le SDIS de l’Indre accueille l’assemblée générale de l’Union des sapeurs-pompiers de la Région Centre Val de Loire

Samedi 15 septembre s’est déroulée au sein de l’état-major du SDIS de l’Indre l’assemblée générale de l’union des Sapeurs-pompiers de la Région Centre Val de Loire. En présente du colonel Eric FAURE, président de la fédération nationale des sapeurs-pompiers de France, et du colonel Grégory ALLIONE, candidat à sa succession, le colonel David SARRAZIN directeur départemental adjoint du SDIS de l’Indre, et le lieutenant Thierry CHAMPAGNE, président de l’union départementale ont accueilli les différentes délégations de la Région Centre Val de Loire.

Pas moins de 12 commissions se sont réunies pour échanger sur différentes thématiques :

  • Commission conjointe des sous-officiers et officiers volontaires
  • Commission des directeurs
  • Commission des Jeunes Sapeurs-Pompiers et du sport
  • Commission SSSM
  • Commission Anciens
  • Commission sociale/Œuvre des Pupilles /MNSPF
  • Commission conjointe des sous-officiers et officiers professionnels
  • Commission des secrétaires d’UD et des PUD
  • Commission prévention et éducation du citoyen face aux risques
  • Commission SUAP et secourisme
  • Commission histoire, Musiques, Musées
  • Commission PATS

L’après-midi a été consacrée à la tenue des assemblées générales ordinaire et extraordinaire avec notamment l’approbation des nouveaux statuts de l’Union Régionale. A noter également l’intervention de Stéphanie CHAUBET au titre de la Mutuelle nationale des sapeurs-pompiers de France.

Cette belle journée s’est conclue par l’allocution des autorités suivie d’un moment de convivialité autour d’un vin d’honneur.

Sécheresse : la campagne s’embrase

La saison des feux de végétation se poursuit dans l’Indre. Les erreurs humaines sont vraisemblablement à l’origine de ces incendies.

Juillet 2017 : sur les réseaux sociaux Facebook et Twitter, un message, des plus brutal est lâché par les sapeurs-pompiers de l’Hérault : « Ce petit geste qui fait de vous un gros con ». La photo représente un mégot de cigarette fumant en bord de route. Et ces derniers jours, dans l’Indre, il se pourrait que le message soit à répéter. Les sapeurs-pompiers sont intervenus sur tout le territoire, lundi, pour étouffer neuf incendies. Hier, trois départs de feu ont eu lieu à Chaillac, Martizay et Parnac.
La sécheresse sévit encore dans l’Indre et le sol est des plus secs. « On est au-delà des moyennes habituelles pour la première moitié de septembre. La saison a été décalée, juin a connu moins de feux », commente le lieutenant-colonel Sébastien Bourdin, chargé des opérations du Service départemental d’incendie et de secours (Sdis).
Mêmes précautions que dans le Sud sauf que courant juin et juillet, des activités agricole peuvent être à l’origine des départs de feu : des étincelles créées par le frottement des silex ou des engins agricoles en surchauffe. « On a déjà des soucis de fourrage, si en plus ça brûle, ça devient problématique », explique Robert Chaze, président de la Chambre d’agriculture de l’Indre. Ces derniers jours, les départs de feu n’ont pas lieu en plein champ mais en bordure de routes ou dans des haies. La source, si elle n’est pas certaine, est plus que probable : des mégots jetés par la fenêtre d’une voiture.
Les cendres incandescentes peuvent rapidement mettre le feu au bas-côté. « En ce moment, il n’y a même pas besoin de vent pour que ça s’embrase. » Les consignes les plus strictes s’appliquent. Les brûlages sont de toute façon interdits jusqu’au 1er octobre (lire par ailleurs) et l’avis du Sdis, pour tout feu, doit être demandé. C’est ainsi que dernièrement, des avis négatifs ont pu être donnés, pour des feux d’artifice, en raison du trop grand risque d’embrasement. « Dans le Sud, de mai à octobre, on applique des consignes de prudence. On se met aussi à les appliquer dans l’Indre », détaille le chargé des opérations.
Côté mobilisation de secours, les effectifs ont pu répondre. « La sollicitation opérationnelle est supportable. La période de vacances est passée, les volontaires sont plus nombreux, on peut répondre soit avec des pompiers professionnels postés, soit avec des volontaires mobilisables. »