Il arrive de la Manche, département côtier, aussi réputé pour sa centrale de Flamanville que pour le chantier de l’EPR. « C’était un territoire très orienté mer et nucléaire. Ça a été formateur », souligne le colonel David Sarrazin qui y occupait, durant deux ans, les mêmes fonctions d’adjoint au directeur de Sdis qu’il vient de prendre dans l’Indre.
Le territoire ne lui est cependant pas étranger, ce sapeur-pompier professionnel a en effet exercé pendant près de douze ans dans le Cher, où est restée sa famille lors de sa mutation dans la Manche.
Le volontariat “ enjeu majeur ” « Quand l’occasion s’est présentée de revenir dans le Berry, je n’ai pas hésité. » Il remplace dans ses fonctions le colonel Jean-Luc Potier. « L’un de mes rôles est notamment de seconder et suppléer le directeur. » Un directeur, le colonel Lahoussoy, qu’il connaît de longue date. Ingénieur en prévention des risques industriel, ses compétences seront sollicitées pour l’une de ses missions qui consiste à prendre en charge les questions de santé et de sécurité au sein du Sdis.
« Je suis également la thématique du volontariat, c’est un enjeu majeur et transversal au sein du Sdis : Il faut accentuer les contacts avec les employeurs publics et privés pour qu’il y ait plus de sapeurs-pompiers disponibles en journée. » La question de la féminisation fera aussi partie de son travail. Pour l’heure, il s’applique surtout à aller à la rencontre des hommes et des femmes sur le terrain. L’ancien chef du centre de secours principal d’Auxerre veut connaître le terrain. « Je trouve appréciable que ce département soit à échelle humaine, il est possible d’avoir une relation de proximité avec les autorités et les effectifs. »
Et son regard est déjà positif sur le département qu’il rejoint. « Sans flagornerie, il y a vraiment eu un bond entre le service que j’ai connu en 2003 et aujourd’hui. Les bâtiments ont été rénovés, le matériel est renouvelé et on dispose de tous les moyens récents pour les télécommunications. » Il souligne l’importance de ce changement, des nouveaux locaux de l’état-major à l’équipement des hommes. « Il faut que le Sdis soit adapté aux besoins de la population. » Et il ne se leurre pas sur l’enjeu, sensible, du secours à domicile. « Nous sommes le dernier rempart quand ni les effectifs de médecins, ni ceux des ambulanciers ne permettent de faire face. On a actuellement une excellente collaboration avec le Samu mais tout reste fragile parce que tous les services sont sous tension. »
Le volontariat “ enjeu majeur ” « Quand l’occasion s’est présentée de revenir dans le Berry, je n’ai pas hésité. » Il remplace dans ses fonctions le colonel Jean-Luc Potier. « L’un de mes rôles est notamment de seconder et suppléer le directeur. » Un directeur, le colonel Lahoussoy, qu’il connaît de longue date. Ingénieur en prévention des risques industriel, ses compétences seront sollicitées pour l’une de ses missions qui consiste à prendre en charge les questions de santé et de sécurité au sein du Sdis.
« Je suis également la thématique du volontariat, c’est un enjeu majeur et transversal au sein du Sdis : Il faut accentuer les contacts avec les employeurs publics et privés pour qu’il y ait plus de sapeurs-pompiers disponibles en journée. » La question de la féminisation fera aussi partie de son travail. Pour l’heure, il s’applique surtout à aller à la rencontre des hommes et des femmes sur le terrain. L’ancien chef du centre de secours principal d’Auxerre veut connaître le terrain. « Je trouve appréciable que ce département soit à échelle humaine, il est possible d’avoir une relation de proximité avec les autorités et les effectifs. »
Et son regard est déjà positif sur le département qu’il rejoint. « Sans flagornerie, il y a vraiment eu un bond entre le service que j’ai connu en 2003 et aujourd’hui. Les bâtiments ont été rénovés, le matériel est renouvelé et on dispose de tous les moyens récents pour les télécommunications. » Il souligne l’importance de ce changement, des nouveaux locaux de l’état-major à l’équipement des hommes. « Il faut que le Sdis soit adapté aux besoins de la population. » Et il ne se leurre pas sur l’enjeu, sensible, du secours à domicile. « Nous sommes le dernier rempart quand ni les effectifs de médecins, ni ceux des ambulanciers ne permettent de faire face. On a actuellement une excellente collaboration avec le Samu mais tout reste fragile parce que tous les services sont sous tension. »
Aziliz LE BERRE, journaliste La NR